L’Algérie veut accélérer le développement de son industrie automobile et sollicite officiellement le japon et son tissus de constructeurs et d’équipementiers.
En effet, le président de la Chambre Algérienne d’Industrie et de
Commerce Abdelkader Gouri, a déclaré hier samedi que des négociations ont été
engagées avec le Japon afin d’activer une nouvelle dynamique d’installation de
nouvelles usines automobiles en partenariat avec les constructeurs de ce pays.
Rapportées par le quotidien Echorouk, les annonces de M.Gouri arrive à un
moment où une incertitude générale touche les unités de montage déjà
opérationnelles mais aussi à un moment où le gouvernement a mit fin à la règle
51/49 dans l’espoir d’attirer le plus d’investisseurs possibles pour les années
à venir.
Selon M.Gori, l’ambassadeur de Japon à Alger avec qui des discutions ont été entamées a assuré que la volonté de son pays d’investir dans le marché algérien est intacte. « Le Japon est l’un des plus grands constructeurs automobiles dans le monde. Et le grand succès des marques Mitsubishi, Toyota et Nissan nous pousse à penser sérieusement à les attirer vers le marché Algérien » a précisé le président de la Chambre Algérienne d’Industrie et de Commerce.